Rêves – 002 à 006

Entre le 17 mars et la 12 avril (date du dernier rêve)

 

J’ai rêvé que je discutais avec ma mère de mon ancienne voiture. Au fur et à mesure que je lui parlais de ma voiture, je commençais à rouler comme dans mes souvenirs, comme téléporté dans ma mémoire. Je me souviendrai toujours de Florange ! Cette vue digne d’un film, magnifique et glauque. J’avais besoin de voyage, de liberté et d’autonomie en ce début de confinement.

J’ai rêvé d’une soirée avec before avec Vincho Kori et Marc. J’ai eu de la barbe, c’est en regardant la vidéo que Marc avait pris et posté sur Insta que j’ai remarqué ça. J’étais étonné gêné puis contente, en vrai ça m’allait vachement bien ! Puis soirée avec Adrien T et le diable qui ressemblait très fort à Sauron. Fuzz m’avait accompagné à vélo jusqu’au before, sûrement chez Vincho ou Marc. A base d’eau et de citron le before, pourtant j’étais éclaté pendant la soirée. On me donnait des verres avec des mélanges d’alcool et de jus de fruit exotiques, je n’aimais pas, c’était trop sucré et brut. Je donnais mon verre à quelqu’un d’autre à chaque fois qu’on m’en passait, sans forcément y goûter. La soirée dura 5min. Le lendemain, Adrien m’a dit « tu deviens pote avec tout le monde quand t’es bourrée », ce qui est vrai en soit. « t’es devenu pote avec le diable » qu’il me sortait tout en jouant avec une balle de ping-pong. « Haha c’est vrai, mais je savais pas ! Pour moi c’était juste un gars comme un autre avec son style! J’sais pas »
Faudrait que j’arrête de croire que tout le monde est gentil en soirée. Ça m’a déjà porté préjudice. Ah, et toujours cette peur des hommes malgré tout.

J’ai rêvé que je prenais le train/métro pour rejoindre des amis et aller à l’aéroport. Je me souviens de Cho et Coralie. Arrivés à l’aéroport, j’ai hâte d’embarquer et aller à Montréal ! On croise Stan qui lui, rentre en France à cause du covid. Je m’en fiche et continue d’avancer gaiement. Mon rêve s’arrête avant d’aller dans l’avion (même si ça ressemblait plus à une file d’attente pour un roller-coaster) (note après relecture : sachez que je n’ai jamais aimé Stan)

J’ai rêvé que Jacob Collier mangeait avec nous. Maman Ana F Bb ?. On mangeait du poisson et buvait du vin rouge et blanc. Jacob parlait anglais, Ana écoutait un peu, les autres ne comprenaient pas. On discutait bien. Je lui ai fait une blague mais c’était un jeu de mot avec le français j’avais peur qu’il ne comprenne pas. Il a comprit, on a rigolé, j’étais soulagé! Haha vraiment un génie dans mes rêves. Et sympa. Et mignon. Et pas du tout gênant. C’était chouette, j’me sentais bien. En confiance, sans ambiguïté.

J’ai rêvé que je me promenais dans Paris (ça n’y ressemblait pas), j’allais vers place des fêtes, idky. Il n’y avait qu’une seule autre personne dans la rue, j’avais peur de cette personne mais j’étais soulagé d’être seule dans la rue. Au calme ! Et à Paris, incroyable. J’arrive à l’endroit prévu, un Airbnb, et retrouve des amis. Je me souviens de Cho Max Kéké Hellion Anne-Flo Kori. On discute, fait petite soirée. Ça dure 3sec. Je vais me changer pour mettre mon pyjama à base de débardeur noir. Je reçois un message what’sapp de Kori qui est un peu bourré dans le salon. Tout le monde en reçoit un. Il nous dit au revoir individuellement avec une blague personnalisée. Il me parle qu’avec moi c’est comme quand les lardons fumés pètent dans la poêle. C’est un feu d’artifice qui éclabousse quelque chose comme ça. J’me sens fatigué dans le rêve, alors je ne cherche pas plus loin et vais dans le salon pour le remercier de son petit mot mignon. Oui, c’était bizarre mais mignon dans ma tête. J’aime bien les lardons fumés, c’est bon. Je suis triste mais je ne le montre pas. Au bout d’un moment Kori part dans sa chambre partagée avec deux autres garçons. Je me retourne, toc à la porte de l’autre chambre. Layz m’ouvre et me demande ce qu’il y a « beh alors ? » qu’il dit. Je tends les bras vers lui en baissant la tête. Petit silence. « oh beh LeMal!.. Ça va aller hein » j’lui dis que je suis triste que Kori parte. « faut pas pleurer comme ça hein, on va le revoir, il part pas si loin. Et puis il meurt pas non plus ! » je me fichais un peu des faits qu’il m’énonçait étant donné que je savais déjà tout ça. (vu que j’ai déjà vécu la séance d’aurevoir dans la vraie vie) Je me contentais d’écouter et de ressentir sa bienveillance. Le réconfort.
Il faudrait que j’arrête d’être triste et que j’accepte que les gens partent.

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